« Ce livre dit la mer, il dit l’aimer, l’avoir toujours aimée. Il parle de mon lien viscéral avec l’océan, les gens de mer, les îles, de cette liberté que l’horizon marin procure aux sens comblés.
Il parle des écrivains – Victor Hugo, Joseph Conrad, John Steinbeck, Simon Leys, Jonathan Raban ou Stevenson, etc. De mes amis les artistes charmés, charmeurs, et bien sûr des grands voileux qui font rêver les Terriens, dont l’as des as est Éric Tabarly.
J’aurais bien voulu vous épargner ce mal de la mer appelé tour à tour CO2, réchauffement, dégazage ou pollution... Mais comment rester muet quand c’est la mer qu’on assassine, le vieil homme et la mer ? Quand c’est la Nature, le corail des Antilles ou d’Australie, l’albatros, le vent ?
C’est tellement beau, l’Océan, l’Homme, il n’y a pas un mot qui tienne au bord de cet infini. »