(2011) Tout est décevant dans l’enfance d’Adolf Hitler. On aurait aimé y voir plus de cruauté, de violence, de cris ou de sang. Rien. Quelques pleurs à la mort de sa mère, mais de là à nous émouvoir… Il aime la musique le petit Adi, comme tous les enfants, il flâne, joue au chef ou se rêve une destinée hors du commun. Bref, Adolf n’a vraiment rien d’exceptionnel... hormis une volonté acharnée à faire ses preuves. "Michel Folco insère ses propres délicieux et très divertissants délires dans les interstices de la réalité." Le Devoir 416 pages; Paperback; Seuil Points |